20H13 • something ain't right • London & Thomas

Malgré que je sois morte depuis longtemps, je m’efforce de vivre comme tous être vivant. Je n’ai autre but sur terre pouvant pleinement occuper une vie d’éternel. Le son de nos pas résonnait dans les longs couloirs du Lycée, la nuit était tombé depuis longtemps et mis a part peut-être le considère, tous le monde avaient déserté les lieux. Avery menait la danse alors que je trainassais du pied non loin d’elle. Suite à notre entrainement, alors que toutes les autres Cheerleaders étaient sagement rentré chez elles, nous avions retravaillé ensemble la chorégraphie. Les couloirs n’étaient que très peu illuminé, mais cela ne me paru pas étrange vu l’heure tardive… Cependant l’aire se glaçais lentement et une présence extérieur se fessait sentir… si j’y avais porté attention, on aurait évité bien des tourments. Le bruit du métal s’entrechoquant résonna lorsque j’ouvris la porte de ma case pour y ramasser mon cartable. La blonde, elle suivait son chemin vers son casier plus loin.

Tout ce passa très vite, cet homme qui attrapa Avery par la gorge et la plaquant contre la rangé de casiers, un fracas sonore retentis. Ces longues canines prêtes de sa jugulaire me firent frémir… à en juger par sa vitesse et son impatience, il était encore un nouveau née transformé depuis peut. Ceux-ci sont facilement reconnaissables par leur enivrement et leur surexcitation à la vue d’un repas agréable. Alors que les vampires ayant plus d’expérience, agrémente souvent leurs partie de chasse en y incluant le jeu. En cette nuit comme bien d’autre, mon don sera utile pour sauvé une autre victime. Mon don est offensif, je suis apte a priver toute sensation. Le néant. Je peux vous couper de tous vos sens, ne ressentez plus de mal, mais vous ne humer plus rien non plus. C’est la privation sensorielle totale. Complètement seul dans le noir, si je vous tue, vous n’en éprouverez aucune sensation. Une sorte d’anesthésie générale. De plus, mon don ne s’applique pas qu’à une seule personne, mais peu bien atteindre une armée.

Malgré la main puissante sur sa gorge, sa jeune victime arrivait a crié son désespoir et son incompréhension. Je ne devais plus tarder une seconde. Je le coupai de trois sens, la vue, l’odorat et le touché. Comme de fait, se retrouvant dans le noir et ne sentant ni ne ressentant sa prise entre ces mains la laissa inconsciemment tomber au sol ou elle se cogna la tête et perdit connaissance au sol. Je fit aux coté de l’homme en un centième de seconde, l’attrapant par la gorge. C’est chacun son tour, et le plaqua contre le mure cimenté a plus de 15 mètre de là. C’est la que lui revint ces sens. J’appuyait toujours contre sa gorge bien qu’il n’ai point besoin d’air.

« C'est un Lycée et non un buffet, contrôle ta faim et ne me cause pas d'ennuie. Sinon je te retournerais les faveurs avec joie. »

J’ai toujours été beaucoup trop humaine pour un vampire. J’ai toujours eu cette conscience que trop peu d’entre nous ne possède. Mon destin n’a jamais été d’être une tueuse, bien que je ne sache quel est mon véritable but désormais. Un mage qui croisa mon chemin, une centaine d’années auparavant lue en moi un vielle prophétie, un immortelle du bien. Luttant contre sa propre race pour sauvé l’humanité. Cependant, aussi élogieuse aurai été cette vois, que ce ne soit tuer un humain ou un assassin sanguinaire, je prive difficilement un être d’une vie. Aussi destructeur puisse-il être. Au fils des années, cette répugnance ces vue destitué. Ce don qui m’a été offert, me permettant de tuer, sans la moindre douleur m’a permis à quelques reprise au cour de ma longue vie, d’exterminé un fléau sans être hanté par les remord. Ce soir, bien que l’individu semblait particulièrement violent et instable, la fin de sa route ne se terminerais pas dans les couloirs d’un collège, ni la mienne d’ailleurs. Bien que ça je le sache depuis le premier regard que j’eux posé sur lui. Même si la force d’un nouveau née est accrue durant ces première années de vie, l’expérience, l’agilité, et le sens stratégique que j’avais acquise en plus deux cent ans d’accumulation, le tracerais en un dixième de secondes. Ça sans doute même sans avoir à lui couper d’un seul de ces sens. Quel impertinent vraiment, , malgré ce qu’il pu en penser, ce lycée n’étais point son territoire loin de l’à d’ailleurs. Il était bien sur mon territoire, le mien! Je n’ai pas l’habitude de réagir si l’on y pénètre, seulement si l’on y attaque des étudiants, non plus tôt des amis, ça deviens un problème.

« j’ai eu l’occasion de me battre contre ma propre race, elle n’est pas facile à battre mais c’est possible. Dans ton cas, ce n’est qu’une question de seconde. »

Je gardai le silence un moment, bien que je ne manque pas de réplique envers ce philistin sans vergogne, je m’attardais un moment sur son visages, ces traits bien lissé et définit. Contrairement à lui, je ne me mens jamais à moi-même. J’en ai bien assez de mentir à tous les autre comme ça! Il était loin d’être hideux, bien que je ne sache si cette beauté était celle de l’immortel ou bien de l’homme. Tels tous les vampires, il était doté d’un charme dévastateur et sa voix de ténor était mélodieuse à l’oreille malgré la froideur qui s’y logeait. Je ne le lorgnai qu’une seconde, pourtant cela avait suffit à ce que j’enregistre chaque parcelle de peau de son visage.

« Quel erreur de jugement, jeune et assoiffé pour prendre le temps d’assuré sa défense, d’entendre un seul cœur battant. Trop jeune encore pour toisé avec acuité un adversaire in écrasable, et pour jugé bon de se taire. Malgré quoi tu crois pouvoir prendre droit sur mon territoire? »

Dit-je d’une voix toujours aussi mélodique et mielleuse en prenant soin de mettre l’emphase sur le ‘’mon’’ territoire. Cependant sur cette deuxième réplique la rage s’était totalement envoler, me rappelant l’empressement et la sauvagerie éhontée qui m’habitait lors de ma première année dans ce nouveau monde. Cela dit je n’avais pas l’intention de lui laissait étancher sa soif au coup de mon amie. Qu’il ait choisi un autre cible aurais causé bien moins de tracas.

Hj: C'est vraiment pas fameux mais bon voilà.

ERREUR ... STUPIDE OUI JE SAIS
Il n’avait pas vraiment le choix je dois dire, s’était un ultimatum facile à déterminé. Seul un idiot aurait agit autrement. Quand je vis la femme entré je me raidis légèrement, moi qui comptais sur un concierge velu ou bien un agent de sécurité inepte. Malheureusement ce serais une jeune femme… un échange plus loyale sans doute. Au regard changeant du nouveau née, je n’eu difficulté à comprendre que cette nouvelle arrivante le ravissait. Ces yeux devenant tout à coup d’une obscurité profonde agrémentaient mes hypothèses. La soif le démangeait, ou du moins l’envie irrésistible de s’abreuver de sa vie. Il ne perdit pas de temps avant de lever de terre sa victime prochaine et la plaqua contre le mur opposé à celui qui avait été démolit. Je sais que ces dans la nature des vampires mais je n’avais pas revue ce genre de spectacle depuis un moment. De toute manière cela n’y change rien, j’éprouvais toujours ce sentiment de dégout en entendant les malheureux crié leur désespoir. S’était tout de même cruel. Au moins quand eux ils se restaurent des animaux, il les tue d’abord. Ils sont déjà plus pacifistes que je ne puisse l’être, même après tous mes efforts pour garder une parcelle d’humanité. En entendant cette enseignante crier j’eus un intangible sentiment de culpabilité qui grimpait en moi. J’avais sacrifié sa vie pour en sauvé une autre. Mais que voulez-vous nous ne pouvons pas avoir tous ce que l’on souhaite dans la vie.

Il avait retrouver son gout et ne s’arrêta pratiquement pas sur la question d’ailleurs, sans doute trop obnubilé par son festin. Cet homme était définitivement étrange, il semblait se réjouir grandement de la peur, de la souffrance de ces victimes. Se spectacle était tout de même dure à regarder… dire que j’aurais tous simplement pu tourner la tête et me préoccuper plutôt de la jeune pom pom girl blonde qui gisait sur le sol. Au moins je ne crains pas à avoir à lui faire oublier cette mésaventure, le coup qu’elle eu reçu sur la tête se sera charger de se petit désagrément que puisse être la mémoire. Il me suffit de l’éloigné loin de monsieur sadisme ou plutôt l’inverse et laisser quelqu’un là retrouver. L’une ou l’autre option, peut-importe. Bref. Avant de planter ces crocs dans la jugulaire de la jeune femme, celui-ci épousa ces lèvres… Hum? Je ne voyais pas trop quel plaisir il pouvait se donner… Je fronçai des sourcils et détourna finalement les yeux pour fixer… le couloir… sans comprendre pourquoi, j’avais cette impression de voyeurisme. Ce n’était pas tellement mon intention de jouer les reluqueuse de… peut importe ce que s’était ce cirque. Il en finit assez rapidement, les pupilles redevenues à une couleur moins alarmante il lâcha le cadavre qui se rétama au sol, tout comme l’inconsciente. Celui qui ferait le ménage, ne sera pas très jovial demain matin.

« j’espère que tu est bien rassasier…. »

Dis-je a vois basse, bien que le ton n’avais guerre d’importance pour des sens aussi aiguisé que puisse être ceux des vampires. J’étais plutôt sarcastique bien que le ton ne le laissait pas entendre. En tous cas je jouais bien mon rôle de râleuse ce soir. Dire qu’habituellement je suis d’une excessive bonne humeur. Elle se cachait bien en cette compagnie.

Il n’avait pas vraiment le choix je dois dire, s’était un ultimatum facile à déterminé. Seul un idiot aurait agit autrement. Quand je vis la femme entré je me raidis légèrement, moi qui comptais sur un concierge velu ou bien un agent de sécurité inepte. Malheureusement ce serais une jeune femme… un échange plus loyale sans doute. Au regard changeant du nouveau née, je n’eu difficulté à comprendre que cette nouvelle arrivante le ravissait. Ces yeux devenant tout à coup d’une obscurité profonde agrémentaient mes hypothèses. La soif le démangeait, ou du moins l’envie irrésistible de s’abreuver de sa vie. Il ne perdit pas de temps avant de lever de terre sa victime prochaine et la plaqua contre le mur opposé à celui qui avait été démolit. Je sais que ces dans la nature des vampires mais je n’avais pas revue ce genre de spectacle depuis un moment. De toute manière cela n’y change rien, j’éprouvais toujours ce sentiment de dégout en entendant les malheureux crié leur désespoir. S’était tout de même cruel. Au moins quand eux ils se restaurent des animaux, il les tue d’abord. Ils sont déjà plus pacifistes que je ne puisse l’être, même après tous mes efforts pour garder une parcelle d’humanité. En entendant cette enseignante crier j’eus un intangible sentiment de culpabilité qui grimpait en moi. J’avais sacrifié sa vie pour en sauvé une autre. Mais que voulez-vous nous ne pouvons pas avoir tous ce que l’on souhaite dans la vie.

Il avait retrouver son gout et ne s’arrêta pratiquement pas sur la question d’ailleurs, sans doute trop obnubilé par son festin. Cet homme était définitivement étrange, il semblait se réjouir grandement de la peur, de la souffrance de ces victimes. Se spectacle était tout de même dure à regarder… dire que j’aurais tous simplement pu tourner la tête et me préoccuper plutôt de la jeune pom pom girl blonde qui gisait sur le sol. Au moins je ne crains pas à avoir à lui faire oublier cette mésaventure, le coup qu’elle eu reçu sur la tête se sera charger de se petit désagrément que puisse être la mémoire. Il me suffit de l’éloigné loin de monsieur sadisme ou plutôt l’inverse et laisser quelqu’un là retrouver. L’une ou l’autre option, peut-importe. Bref. Avant de planter ces crocs dans la jugulaire de la jeune femme, celui-ci épousa ces lèvres… Hum? Je ne voyais pas trop quel plaisir il pouvait se donner… Je fronçai des sourcils et détourna finalement les yeux pour fixer… le couloir… sans comprendre pourquoi, j’avais cette impression de voyeurisme. Ce n’était pas tellement mon intention de jouer les reluqueuse de… peut importe ce que s’était ce cirque. Il en finit assez rapidement, les pupilles redevenues à une couleur moins alarmante il lâcha le cadavre qui se rétama au sol, tout comme l’inconsciente. Celui qui ferait le ménage, ne sera pas très jovial demain matin.

« j’espère que tu est bien rassasier…. »

Dis-je a vois basse, bien que le ton n’avais guerre d’importance pour des sens aussi aiguisé que puisse être ceux des vampires. J’étais plutôt sarcastique bien que le ton ne le laissait pas entendre. En tous cas je jouais bien mon rôle de râleuse ce soir. Dire qu’habituellement je suis d’une excessive bonne humeur. Elle se cachait bien en cette compagnie.

Je me sentais déjà assez répugnant d’avoir sacrifié une vie pour une autre. Mais les liens d’amitié sont très fort, autant humains que vampire. Seulement, transformé, nous avons une sorte d’hypersensibilité. Les liens que nous chérissons deviennent plus puissant, et plus difficilement ébréchables. Tel l’amour entre anthropophage. Un lien si fort que seul une séparation de quelque minute en devient insupportable. Un amour perdurant éternellement, et qui pourtant ne devrait jamais avoir de fin. Un lien si fort qu’a la perte de sa moitié, le survivant en perd gout de vivre et se détruis en un temps incosidérable. J’avais eu la chance de rencontré sur mon chemin au cours de ma longue existence, ces vampires qui eurent trouvé leur raison de vivre, leurs bonheur brillant aussi fortement que l’astre solaire m’avais éblouis de leur beauté. Seulement, je crains qu’il n’y ai point être destiné à donné sens à la mienne. Le seul bonheur que l’on me prodiguant, provenant de ces amitiés qui lui paraissait si futile. Bien qu’il n’y ai pas de raison valable de tuer un être au lieu d’un autre. Celle-ci me paraissait valable.

Je ne répondis point a ces paroles, que lui rétorquer? Qu’il n’avait aucune morale et que son plaisir face à la souffrance me dégoutait? Je ne crains point un instant qu’il soit pleinement conscient de son trouble… Je toisai un seul instant son regard avant de le reposer sur la blondinette en question, Cette pauvre Avery qui avait du moins la chance de se voir privé de ces souvenirs. Le contraire était cuisant, la mémoire d’un immortel est imparable. Chaque son, chaque image, chaque odeur, enregistré à tout jamais avec un telle claireté qu’après seulement quelques années vouer aux études vous transforme en génies. Enfin le problème étant un immortel, étant que le secret est fortement inavouable. Si les mortel venait a apprendre notre existence, cela se verrait être un désastre. De plus il y a un code d’honneur entre notre espèce, étant de ne parler à personne de notre identité. Ce qui nous sommes, sinon ces personne devront se voir tuer. Voilà pourquoi l’homme ne pouvais laisser sa victime giser au sol ainsi jusqu'à la mâtiné. Cette marque de crocs bien visible à son coup était un trop gros indice pour qu’il la laisse ainsi. Habituellement il est de rigueur de faire bruler la victime pour que même en usant d’une autopsie si les cendres étaient retrouvé… que l’on ne puisse rien y déceler. C’est sans doute ce que nous devrions faire… Bien que j’eus l’irrésistible envie de le laisser se débrouillé seul.

« si pour toi cette marque est infime, je n’ose point imagine ce qui l’est moins… enfin c’est en grande partie mes tord. Inutile de te laisser te laisser affranchir se fardeaux seuls…»

En m’approchant je pu percevoir ce que je n’avais pu sentir au part avant… cela me pris quelques seconde avant de comprendre ce que cela puisse être. Ce petit cœur battant, qui n’appartenait pas à cette femme déchu mais bien a sa futur progéniture informé mais possédant tout de même le noyau de sa vie. Le fœtus toujours vivant dans le ventre de la défunte… qui ne perdurera plus que quelques secondes, vu son rythme cardiaque qui ralentissait à vu d’œil. J’étais tétanisé, dégouter de moi-même… malade d’avoir pu faire un truc du genre à une vie débutante. Cette peine ce lisait sur mon visage, que je ne perdit pas de temps à cacher… j’étais trop humaine et pourtant pas assez à mon gout. Enfin je reculla d’un pas de se cadavre, les lèvres close… préférant m’occuper de l’autre corps toujours chaud que de ce massacré écœurant. C’est en silence que je la levai du sol….

Le laissant lui-même s’occuper du cadavre de la jeune femme, de mon côté je me chargeais plutôt de la blondinette qui gisait contre la ranger de casier. Passant une main sous ces genoux et une autre dans le dos de celle-ci. Ma forcé herculéenne du à ma race me permettant de la lever avec un telle facilité, que traîner un livre aurait été du pareil au même. Exception que nous n’aurions pas de problème si tel avait été le cas. Le foutoir du couloir était en grande partie de ma faute, après tout si je lui avais laissé le loisir de manger sa première cible, le problème aurait été bien minime… Enfin, j’imitais le geste de l’homme en la posant inconsciente sur mon épaule, ne la tenant que par les jambes d’une main. Je n’étais plus très bavarde depuis un bon moment déjà, et cela se perpétua alors que nous nous dirigeâmes vers une sortie. Je fus surprise de sentir la poigne de l’homme, resserrant son emprise autour de mon bras. Je ne savais point tellement pourquoi je le laissai faire, tant ma haine était grande envers lui, tant elle ne voulait absolument rien dire. Je ne l’appréciais point du tout, et pourtant il m’intriguait et je ne pouvais me libéré de cette main. Son air changeant ne me vint pas tout de suite en évidence puisqu’il était légèrement plus avancer que je ne le fus. Cependant je ne pus manquer ce qui suivit… La fermer? C’est à moi qu’il parlait comme ça? Cependant cela me paraissait que très peu probable puisque je n’avais point dit un mot depuis déjà un bon moment… je me contentai de le regarder éberluer et quelque peu vexer…

« euh…Quoi?»

Nous arrivâmes à l’orée de la forêt, là ou il lâcha sa poigne sur moi et s’affaira plutôt à rassembler, brins de Cie et feuilles mortes qui se trouvaient facilement autour de nous en y recouvrant le corps de la défunte. Je n’étais pas tellement utile, voir aucunement, ne fessant que le regarder faire en repositionnant la jeune femme dans mes bras, bras sous les genoux et mains dans son dos comme à l’origine. De toutes manière, il ne pris pas perdit temps que se consumait la piste indésirable dans une fumé plus noir qu’autre chose et dégageant une odeur nauséabonde. Assez désagréable pour que je fronce du nez un moment, bien qu’il n’avait été donné à plusieurs reprise de brûler les trace de d’autre immortel inconscients, je ne m’étais point habituer à cette puanteur.

« je vais m’occuper de la ramener à son lit, avec un peu de chance, tous n’aura été qu’un mauvais rêve…»

Je n’appréciais pas trop le fait que l’homme passé autant de temps à admiré le corps inerte que je tenais, surtout lorsqu’il glissa ces mains sur elles. Pourtant malgré mes intuitions qu’il allait encore empirer les choses, je n’intervins pas avant de voir apparaître le sans sur son épaule, alors que lui s’en léchant les doigts, comme un automatisme, je reculai d’un pas, éloignant la Pom pom girl de lui… Je n’en revenais pas, son inconscience allait me rendre dingue. Dire que j’escomptais sur un réveille en mâtiné demain, un mal de tête sans doute en se demandant si tout cela n’avait été qu’un rêve. Du moins dans la mesure où elle s’en rappel. Cependant, grâce aux inconvenances de l’homme, dont j’ignorais toujours le prénom d’ailleurs, je devrais chercher comment expliquer ces nouvelle marque sur son corps… je soupirai légèrement avant de tourné le dos de l’homme.

« L’éloigné de toi surtout... avant que tu ne lui arrache un bras pour gouter… »

Tant pis, je n’en saurai peut-être jamais plus sur lui, mais je ne pouvais le laisser encore une seconde de plus avec Aubree… il ne cessait de faire des bêtises, tel un enfant. Je m’en éloignais prenant direction de la maison de la blonde endormis dans mes bras. Elle n’habitait pas très loin d’ici, et heureusement la vitesse n’était pas un problème… je jetta un dernier coup d'oeil vers lui avant de m'enfuire dans les bois a toutes vitesses.