I hate everything about you ♥ THOMAS

La nuit passa avec une rapidité presque alarmante pendant que la brune suave suivait son instinct, chassant puma, et autre créatures de la forêt pour y étancher sa soif. Cela fessait plusieurs jours qu’elle ne s’y était point rendu, et cette chasse lui avait redonné pleinement ces forces et sa joie lutine coutumière. Lorsque le soleil atteignit la ligne d’horizon éclairant peu à peu cette nouvelle journée qui s’annonçait alors que London, d’un pas rapide mais d’une grâce légitime traversait à toutes vitesse les bois, atteignant en seulement quelques minutes l’immense villa légèrement éloigné de la ville. Une main glissante sur la rampe de l’escalier, d’un pas qui ressemblait d’avantage a une série de sautillement joyeux, London atteint-le deuxième plancher poussant la porte de la salle de bain, laissant glisser ces vêtement usée sur le marbre polis du sol.La jeune femme n’avais point l’habitude de porté plus d’une fois la même tenue, très extravaguant mais malgré ces efforts elle n’arrivait point à faire autrement. Laissant l’eau couler sur son corps nue elle pris une bonne demi-heure avant d’en sortir laissant sécher son corps à l’air libre marchant jusqu'à ca chambre. Une serviette enroulée autour de sa longue chevelure. Ouvrant les grandes portes de sa penderie le téléphone résonna dans la pièce.

Après avoir discuté un moment, la jeune femme reposa le téléphone sur la table basse avant de retourner dans la penderie. Des copines passeraient la chercher dans un peu moins d’une heure pour se rendre à la plage. London adorant prendre du soleil bien qu’elle n’ait malheureusement pas la capacité à doré, sautilla sans la pièce et se saisissant de son bikini favori, d’ailleurs elle était absolument sublime une fois enfilée. Elle enfila tous de même en short jeans, bien qu’il fût très court, pour tenter d’être un tantinet moins dénuder. Ces long cheveux sécher et plat tombant délicatement le long de son dos. En entendant un bruit de klaxon devant chez elle, La jeune fille arborant sourire aux lèvres, sorti de chez elle prenant place sur le siège passager. Quatre cheerleaders dans un décapotable rose, laissé moi vous dire que cela ne passe pas inaperçu. Tous les regards, du moins presque, se retourna à l’arrivé des quatre jeunes femmes sur la plage. London alla poser ces affaire et quitta les trois autre en direction de la rive, ou il y avait un petit quai de bois… là ou elle pu sentir cette main ce posé sur sa hanche. Surprise et confuse elle se retournai, y voyant un joueur de foot du lycée qui prenait ces grand airs....

« Tu n’es pas censé être en train de tuer un homme pour prendre ton ballon?»
« Et te laissé livré a toi-même. Tu sais que malgré moi, je trouve ta vulgarité d’américaine tout à fait attirant, alors oubli vite tous ce monde et donne moi ce baisé que tu rêve de me donner depuis notre première rencontre…»

Ce gamin était franchement à vomir, bien qu’il soit doté d’un bien beau physique, il était malheureusement dépourvu de tous intérêt. Son statu social très élevé lui confère un snobisme écœurant et une confiance en soit indigne. Lorsque la jeune femme senti encore une fois sa main se posé sur elle, elle grimaça bien qu’il ne pu s’en rendre bien compte. London souris et ferma les yeux approchant doucement son visage du sien, puis une fois arrivé a proximité elle posa une main sur son torse et le poussa à l’eau. Une fois qu’il fut remonté à la surface, la jeune femme se mis a l’injure en lui recommandant de ne plus jamais tenter de l’embrasser. Bref, malgré ce crétin elle retrouva le sourire rapidement, bien qu’elle eu besoin de s’éloigné légèrement sur la cote. Elle sentait cependant une présence derrière elle… elle espérait vivement qu’il ne l’ait pas suivit…

Je me demande pourquoi les hommes ont tant de difficulté à enregistré un refus. La beauté à parfois ces désavantages, et si je n’avais point eu la chance d’avoir été une immortelle, j’aurais sans doute subis à plusieurs reprise un quelconque abus sexuelle. Bref, celui-là me tarabustait depuis déjà deux semaines, et je croyais fermement qu’après un plongeon il aurait finis par se faire un raison. Seulement, bien que j’aie quelques mètres d’avance sur lui, il me rattrapait. Je sentais son odeur, l’odeur de son sang. Il s’approchait. Je soupirais fortement me retournant vers le grand gaillard. Cependant entre temps un autre homme s’était interposé entre nous. Sa chevelure brune et cette coupe, ces épaules bien taillé… sa voix. La mémoire d’un vampire est sans faille, cela dit, je suis certaine que j’aurais pu le reconnaitre même sans cela. Il ne fessait que le tenir par l’épaule et pourtant après avoir eu, la chance ou serais-ce de la malchance, de l’avoir vue agir à notre dernière rencontre j’avais légèrement peur que ça se gâte. Qu’il le vide de son sang ou peut-être même le démembrer qui sais? Mon inquiétude imprégné sur mes traits était bien visible, malgré quoi je ne savais pas si je devais l’arrêter ou non? Après tout, je sais que je devrais être bien gentille, mais j’en ai plutôt marre de l’être avec cette tête enflé. Serais-je mieux sans lui dans les parrages?

Cependant je ne crois pas qu’il mérite la mort pour avoir été un parfait imbécile non? Ce pourquoi je me m’y en tête de les arrêter pendant qu’il en était encore temps… m’approchant d’eux. Je fus stoppé par le coup de poing balancé par le ténébreux inconnues qu’il m’avait été donné de rencontré aux lycées à peu près une semaine plus tôt. Hey bien dire que je m’étais attendu au pire alors que finalement celui-ci s’était montré bien raisonnable. Je l’avais peu être mal jugé? Bien qu’en fais j’avais tous à fait raison de le cataloguer dans la catégorie, nouveau née, sans grands sentiment et brute de décoffrage. Seulement je ne le sais pas encore han! Je m’approchai encore un peu de l’homme qui fessait de même, piétinant l’homme maintenant sans connaissance au sol. Ce qui me décocha un sourire d’ailleurs. Il me semblait pourtant que la scène se répétait. Deux inconscientes en deux!

« humm. Merci. »

C’est drôle mais je ne l’imaginais pas trop se balader sur la plage au soleil, comme quoi ne devrais franchement cesser de juger les gens aussi rapidement. Bien que ma bonne humeur et mon plaisir de voir un imbécile trop collant K.O. m’ais rendu ma bonne humeur et ma légèreté lutine, je ne sais pourquoi je ne me sentait pas capable de revenir complètement sur mon sentiment de haine a son égare… après tout après mure réflexion je ne pouvais pas le juger sur un seul geste sympathique à mon égare. Bref… Je repris ma marche me retournant a nouveau vers l’horizon vers lequel j’étais tournée avant d’être interrompu dans … dans ma marche. J’entendais mes copines m’interpeller de loin, cependant je fis comme ci de rien étais, loin de moi l’envie de jouer au volley ball avec les trois autre filles juste pour attiré les regards. Je ne tiens pas spécialement a jouer les exhibitionnistes

« Allez salut. »

Il était bien gentil de venir à mon aide mais je n’allais pas rester planter là a attendre qu’il ouvre la bouche. De plus j’avais bien envie de regagné la petite grotte au bout de la plage et si je voulais l’atteindre avant la tomber de la nuit je devais m’y mettre tout de suite. Elle tait à peu près quatre kilomètre d’où j’étais. Normalement je les aurais courus en peut-être 3 secondes, seulement lorsque la plage était aussi pleine de gens, je me devais d’avoir l’aire a peu près normal. Donc j’utilisait mes petites jambes tel une personne normal.

Ce n’était pas spécialement que ca compagnie m’était désagréable, quoi que lors de notre première rencontre je l’aurais sans doute qualifié comme cela. Je me rappel lorsque je suis rentré chez moi après cette nuit, après être allé déposer la jeune fille sous son édredon, d’avoir lâché quelques injure malencontreuse à son égare. Car comme de fais, vers dix heures le lendemain matin, la blondinette m’avais téléphoné me demandant ce que l’on avait bien pu faire pour qu’elle ne se rappel que de la pratique et de nous deux qui partîmes vers nos casier. Heureusement j’avais bien songé à mon histoire et je pu lui donner une raison valable. De toutes manière ce n’était pas si difficile à trouver, perte de mémoire se marie très bien avec un taux l’alcoolémie élever. Donc je n’avais eu qu’à lui raconter que nous nous étions rendus dans un club et qu’elle avait mis le paquet sur les cocktails. Cependant ces les marques laissées par les ongles de l’homme qui m’avait causé le plus de dégât. Comme expliquer cela? Je lui ai simplement dit que nous nous étions séparé lorsqu’elle avait harponné un homme qui me paraissait légèrement blizzard et que s’était sans doute lui le responsable. Pour ce qui est du Lycée, bien disons que les recherches continuent. Cependant au lieu de chercher des immortels, ils cherchaient des petits voyous. La disparition de la professeure cependant à été décrite en long et en large dans les journaux. Un enlèvement disent-ils!

Enfin j’étais légèrement presser d’atteindre ma grotte, malgré que ce qui restait le plus magnifique était de la voir lors que la tomber de la nuit. S’était une grotte à l’extrémité de la plage, dont personne ne connaissait l’existence puisqu’il fallait longer les parois rocailleuse de la falaise et que personne d’humain ne serait en mesure d’atteindre. Du moins s’il n’ont point d’équipement approprié. Elle était légèrement sur élever et était assez petite. Cependant la moitié de celle-ci était creusé et emplie d’eau saline. Je suis déjà aller jusqu'à fond de ce tunnel par curiosité de savoir ou celle-ci débouchait, je ne fut pas surprise de voir qu’elle débouchait sur la mer, cependant je ne me serais douté qu’elle s’y éloignait autant, bien que j’eus quelque peu la puce à l’oreille en réalisant que je n’atteignait pas rapidement la sortie. Le plus merveilleux étant le récif de coraux qui si cache, d’une beauté exceptionnelle! Lorsque le soleil se couche une teinte rougeâtre emplie la grotte… et une fois a lune lever, elle transparait au dessus de la grotte, laissant jaillir sa lumière dans l’eau, qui se reflète sur les parois rocheuse de celle-ci… c’Est franchement magnifique. Enfin, malgré mon impatience, il semblerait que je dois prendre encore mon temps avant d’y être puisque l’homme venait tous juste de saisir ma main. Ce qui me surprit beaucoup d’ailleurs, j’aurais crue qu’il se serait trouvé autre chose à faire après avoir rétamer le grand gaillard. Comme le trainer plus loin et s’en faire un Pic-Nik non? xD Il semblait amuser alors que mon désappointement se lisait clairement sur mes trait… De plus je me senti légèrement … jalouse. Oui parce qu’il connaissait mon nom alors que moi je ne savais rien de lui… il avait raison.

« Si tu ne veux pas que je te fasse faux bon alors tu n’as qu’a suivre, et ne pas ensanglanté les parois de ma grotte, merci. »

Étrangement un léger sourire apparu sur mes lèvres alors que je repris ma marche mais cette fois-ci à pas plus lent, pour lui laisser comprendre qu’il n’avais qu’a suivre, ce qu’il fit rapidement comme il n’était point retarder. De plus il fallait que je règle cette inégalité, le fait qu’il connaisse mon prénom alors que moi j’ignorait le siens. Bien qu’il lue appris plus accidentellement qu’autre chose.

« Alors tu ré égalise les bases? »

CeJ’avais franchement hâte d’atteindre ma grotte, même si je m’y étais déjà rendu à mainte reprise dans le passé. Seulement la route était plutôt longue à une vitesse dites normal, cependant durant la ballade je pouvais en apprendre d’avantage sur l’homme qui me paraissait si mystérieux. Dire qu’originellement je suis capable de lire en a peu près tous le monde comme dans un livre ouvert. Bien je peux vous dire que cette fois je suis une aveugle sur un autoroute. Belle expression non,? xD Enfin marchant à pas relativement lent, je me concentra, pendant que l’homme ne parlait point, sur les alentours. Nous devrions bientôt être en mesure de pouvoir accéléré le pas, car la plage remplie de ces occupant serais bientôt invisible d’où nous serions. Le tournant de la coté nous cacherais si l’on décidait de courir a une vitesse qui est tout à fait normal pour un immortel et tout a fait anormal pour un humain normal. Il fallait aussi que je me concentre sur l’eau, qu’il n’y ait personne dans les parages, ce qui m’aurais étonner aussi loin de la plage. D’ailleurs je crois que la baignade hors zone est interdite… Mais les bateau et les surfeurs eux non. Finalement j’écoutai attentivement voir si je n’entendais point quelqu’un au loin d’où on s’en allait…. Mais cela m’aurais tout de même étonné. Finalement la vois était libre!

« Bien, on est tous passé par là comme tu le sais. »

Je lui sourit sans trop rien ajouté, j’étais certaine qu’il n’avais nécessairement envie de se faire tarabuster pour son jeune âge… mais il avait l’éternité pour vieillir, et peut-être même développer un pouvoir, si il n’en avait point un déjà. Seulement si tel avait été le cas je n’aurais point pu le savoir. J’ai longuement voulu le don d’une des mes copine… Un vampire que j’avais rencontré il y a de cela une cinquantaine d’année. Celle-ci avait le don de lire dans les pensé d’autrui. ( Ça me rappel quelque chose ça) Cependant elle ne pouvait point lire les pensé de tous, seulement d’une seul personne en s’y concentrant! C’est ce qui est étrange avec les dont, ils sont complémentaire. Un vampire pourra lire dans les penser d’une seul personne alors qu’un autre le pourra avec une centaine. Chaque don est relié à quelqu’un… Cela se produit d’avantage par un lien de sang, mais rare sont ceux qui transforme leur famille entière voyer! Enfin il n’avais pas l’intention de tuer ce soir, et encore heureux, car je crains fort qu’il trouve quelque chose à chasser ou nous allions. Enfin je lui sourit, ayant retrouver ma bonne humeur, sautillant légèrement, en marchant avec la gracieuseté propre aux vampires. Sauf que dès ma transformation, j’avais été de cette même gracieuseté et légèreté… ce qui en étonnait plus d’un. Lors qu’il se présenta, j’eux un léger sourire en coins, comme cela finalement c’est moi qui en savais le plus… Bon si je considère qu’un nom de famille en vaille tant!

« hey bien Thomas, j’èspère que tu court vite. »

Un léger rire résona de ma gorge, avant de m’en retourner et de commencer à courri vers l,autre bout de la plage. Il n’y avait point d’odeur de sang humains aux allentour donc nous ne serions pas vue, bien que la vitesse d’un immortel nous rendait pratiquement invisible à l’œil nue et non exercer. Loin de moi l’envie d’atteindre notre objectif, enfin mon objectif devenue notre, dans une heure ou même plus. De plus le temps filais à une vitesse que ne m’en rendait point compte. Je m’était mis a courir, galopant à toute vitesse, sans toutefois être à ma vitesse maximal. Après toutes les années j’avais atteint un niveau, pratiquement innacotable. J’ai déjà même songé à m’inscrire a une compétition. Seulement ils n’aurais point pu faire de teste sur moi.. et aurais découvert l’anomalie. Enfin cela nous pris à peut près cinq seconde que nous y étions.

Le son subtil que nos pas engendraient résonnait dans la grotte, cependant seule une oreille d’immortel aurait pu détecter un tel bruit. Un sourire presque enfantin percher sur mes lèvres, sautillant, sans me douter une seule seconde de ce qui pouvait déjà tourmenter l’homme qui se tenait derrière moi. Je ne m’aperçu que quelque chose clochais cependant lorsque mon regard se posa sur son air tant accablé, se regard emplie de blessure. Je ne savais rien de cet homme certes, mais ces yeux traduisaient un profond désespoir, un passé lourd et noir. Que cachait-il sous son armure d’homme impassible? Son regard regardais les parois de la grotte, semblait en être terriblement troublé. Pourtant à mes yeux rien ne me semblais anormal, seulement j’étais bien loin de me douter du combat qui faisait rage dans son esprits. À quel point tous était sombre pour lui, combien tous semblais si anormal. C’est bien ce qui me désappointais le plus, de ne point savoir que faire. Qu’est ce qu’il se passait. Cela me prit un temps avant de regarder la chose avec mes yeux de médecin. Depuis mes siècles d’existences, j’ai appris bien plus de connaissance qu’aucun docteur de ce monde ne pourra jamais acquérir dans une vie. La maladie mentale est détectable en état de crise, même si je n’étais pas dans sa tête, même si je ne savais rien de lui, je savais reconnaitre n’importe laquelle d’entre elle avec rapidité… Bien sur il m’en aurait fallu d’avantage peut-être si il aurais été atteint d’une maladie plus subtile. Mais ces yeux éberluer semblant plus être percher dans un autre réalité que dans celle-ci ne me trompais pas. La skyzophrénie. Je ne pouvais pas me détacher de son regard, de sa personne. Même si je m’inquiétais beaucoup a son sujet d’une part, je me voyais très intéresser par le phénomène. Un vampire devrait être immunisé contre toues maladie, la maladie mentale aurais du en faire partie. Ce qui m’intriguait grandement. Si un jour l’occasion se présentais, je n’oublierais pas de faire quelque test avec lui… enfin si l’occasion se présentait et qu’il m’y autorise… mais j’ai un excellent don pour la persuasion. Enfin entre le temps qu’il commence à parler à quelqu’un qui n’était point moi, je fut intrigué… Je me demandais ce qui pouvait bien être en train de se produire dans sa tête… ce qu’il voyait. Tous ce que je pouvais faire s’était essayer de me fonder quelques d’hypothèse sur le genre de chose que cela devait être… douloureuse, a en croire par l’expression qu’il arborait. Ces dires me terrifièrent un moment, mais je ne devais pas m’y attarder… l’aider. Voilà ce que je devais faire. Le cri résonnait dans la crypte rocailleuse, un cri désespéré, qui me fis mal au cœur, bien qu’il ne battait plus depuis fort longtemps, pas proprement en tous cas. Je m’approchais je lui, prudente, bien que toutes les raisons de monde me laisse croire que je n’avais rien à craindre, je n’étais pas un simple humaine faible. Il n’aurait rien pu me faire de bien grave. Cela dit, je m’approchais, a pas léger jusqu'à être près de lui posant ma main sur sa joue. En cas de crise un contact avec la réalité serait un bon moyen pour tenter de stopper ces divagations qui pourraient s’accentuer s’il les laissait l’emporter. Dans le monde humain, il est possible de se faire traité, en psychiatrie. Contrôler ces symptômes, voir même les stopper après une dizaine d’année. Il avait une longue vie devants lui, il aurait amplement le temps pour ça… cela dit, il ne fallait point qu’il se perde en cours de route. Ma main glacer au contacte de sa jouent qui l’était tous autant engendrait un contact plutôt tiède en fait. Mon regard cherchant le sien…

« Regarde moi Thomas, ce n’est pas réel. Tu le sais. »

Ma voix était douce et se voulait la plus rassurante possible. je n’avais pas crainte qu’il me tue, il avait beau pu me paraitre insensible et brute à notre première rencontre, mais ces souvenir se vu effacer lorsque je découvrit toute l’humanité en lui qu’il devait tenter de cacher. Il était si complexe que ça me fascinait complètement. Il me semblait si perdu, et j’avais envie de le guider. Cela me paraissait pourtant si stupide puisqu’il m’était encore un inconnue. Pourtant je ne pouvais que m’extasier devants un tel être.. Je scrutait son regard cherchant signe d’’amélioration. Guettant sa réaction.

Le problème étant que je ne suis pas particulièrement habile avec ce genre de cas, et qu’il n’y à pas grand-chose que l’on puisse fait de mieux c’est de faire acte des présences auprès du patient. Quoique je n’appellerais point le jeune homme ainsi, quand même. Lorsque sa main se tendit vers moi et m’effleura, je frémis. Ce qui me surprit moi-même. Pourtant j’étais bien consciente de son état. Malgré tous ces effort je percevais parfaitement ces angoisses, certainement que je ne le connaisse point, cependant je ne suis pas empreint à juger les gens, enfin cela peut arriver en effet lors d’occasion plus sanguinaire. Mais jamais pour ce genre de chose. Ces yeux me fuirent un moment… comme je l’ai sans doute déjà mentionné, j’ai un œil de lynx, je vois chaque détail, et il n’était pas particulièrement bon pour cacher ces mimiques indicatrices. Pourtant je m’inquiétais à savoir ce qu’il se passait dans sa tête, il semblait avoir repris connexion. La crise semblait s’être terminée. On ne sait jamais peut-être me trouvait-il envahissante, moi et mes manie de toujours tenter d’aider les gens, même lorsqu’il n’y tienne pas nécessairement. On ne sait jamais, s’était peut-être une légère paranoïa, cependant ça me trottais dans la tête. Il se laissant retomber au sol, s’adossant au rock du repère, attrapant ma main au passage pour que j’y rejoigne. Au moins cela m’éclairait sur une chose. Je m’assis sur le sol à ces coté levant les yeux vers lui. Je ne m’étais pas attendu a ce qu’il me fasse des excuse quoi que j’aurais du prévoir le coup, s’était un des réactions normal après tout, la honte. Mais son angoisse était inutile, seulement je ne savait pas trop comment le lui dire.

« tu n’a rien fais de mal, alors, reprend tes excuses. »

Je lui tentai un sourire, ma voix mélodieuse résonna légèrement dans l’écho de la grotte. Ces yeux les fixant, encore la il avait été prévisible, et même avec l’avance, je ‘eu pas le temps de voir venir le coup. Sa main, le contact frêle de ces doigts sur ma nuque. Mon estomac se noua, du moins s’était la sensation que je cru éprouvé. Si j’avais été encore mortelle, probablement que mes joue se serais empourpré. Je me surpris même de ma réaction si passive, dire que depuis des siècles aucun homme ne n’avais tout simplement touché ainsi. Pourtant en cet instant, contrairement à toute probabilité, j’avais envie qu’il me touche. Ces lèvres qui caressèrent les miennes avec tant de douceur avec tant d’habileté et de douceur, j’en frissonnai. Machinalement j’avais fermé les yeux, un réflexe automatique sans doute. Une main délicate s’étant posé sur son torse bien dur. Sa main ayant effectué un léger chemin vers mon corps me nouèrent la gorge. De plus qu’a cet instant in s’interrompis, s’éloignant, me laissant surprise et hébété. De plus étrangement, malgré le fais qu’il m’était pratiquement inconnu, j’aurais eu envie qu’il continue. Il s’en voulait, je ne savais cependant pas si il s’en voulait de l’avoir fait, ou parce qu’il n’en revenant pas d’avoir fait quelque chose d’aussi ragoutant. Il s’était relever, me laissant seul assise bêtement, encore choqué de son départ précipité. Un moment je crus qu’il allait bien prendre congé, jusqu'à ce qu’il s’appuya un peu plus loin. Je relevais les yeux vers lui, m’appuyant contre le mur…

« C’était quoi ça? Tu te venge pour le faux bon de l’autre soir? »

Feindre que je n’étais pas du tout troublé fut plus simple que je ne l’aurais crue, encore une dose de talent. Enfin je me redressai, et me redirigea vers son nouveau point, je ne tenait pas à rester bêtement assise là, et puis il avait réveiller quelque chose en moi bien que je ne puisse définir ce que s’était. Je ne le quittais pas du regard du moins tant que possible. Cela dit, je ne le faisais point d’une manière féline, plus douce. Je me rapprocha de lui, assez pour reposer ma main hésitant sur son torse, le regardant, ne pouvant totalement dissimulé une pointe de timidité.

Je me sentais surtout gêner par mes propre réaction, s’état tellement loin d’être dans mes habitudes de jouer les filles aussi facile. De lui laisser la chance de m’embrasser de la sorte et de ne pas le lui faire payer par après. Cela fait plus de deux cent quatre vint cinq ans que je n’ai jamais laissé aucun homme le plaisir de me toucher ainsi. L’incident qui s’était produit avec le garçon, un peut trop brute de décoffrage de tout à l’heure, arrivait trop souvent. Je m’en voyais terriblement troubler, le fait que je désir lui partager ces caresses. Je ne me comprends plus, et je ne savais point pourquoi je lui montrais ma timidité… Je n’avais plus l’habitude de ce genre de choses, et ça depuis si longtemps! Le plus étrange étant que ce garçon était loin d’être un gentil homme. Au contraire, il avait été si détestable lors de notre première rencontre, et il m’avait paru si perdu lors de sa crise… je ne sais pas ce qu’il se passe… mais je me dis que je devrais franchement cesser de songer autant et de me laisser aller. Sa douceur était si agréable, il me fesait frémir à tous contact, était-ce du au fait que ça fait que personne ne l’avais fait depuis si longtemps ou bien autre chose. Je ne croyait cependant pas que ce soit de l’amour

Le fait qu’il me dise que je n’avais pas à être timide avec lui, me fit tous l’effet contraire. Si je le pouvais encore, mes joues de porcelaine se seraient empourprées. Cependant la gêne paraissait clairement sur mon visage, un cercle vicieux qui n’en finissait plus. Cependant ce moment absurde redevint doux lorsque ces lèvres caressèrent les miennes. Je répondis au baiser avec passion, laissant ma main sur sa joue avec tant de délicatesse que ça m’en étonna moi-même. Laissant mes doigts glisser, caresser celle-ci, baisant ces lèvres douce et sucrées. Mon autre main toujours posé sur son torse nue, se croyait de plus en plus coincer entre nos deux corps qui se voyait de plus en plus collé l’un contre l’autre. Ces mains qui glissaient sur mon corps me fessant frémir à chaque contact, ce que je ne trouvais pas normal… Pourquoi réagissais-je autant? Pourquoi est-ce que je le laissais d’ailleurs la chance d’agir ainsi. Lorsque ces main glissèrent dans la courbe de mon dos détachant au passage l’une des cordes de ma maillot de bain, je sursauta légèrement. J’aurais du à se moment lui balancer une bonne gifle et le laisser là, pourtant je n’en fit rien. Cependant mon expression faciale trahissait mon doute et mon aire totalement perdu. Que faire… il me proposait un bain de minuit… moi qui n’ai jamais monté ma nudité à personne… depuis exactement deux cent quatre vint cinq ans… Le dernier ayant été mon mari…. Hey oui j’ai été marié… mais je n’aimais point celui-ci…. À mon époque les mariages de convenance était le seul mariage existant… mon père m’ayant marié avec cet homme qui avait le double de mon âge et qui était Lord… Bref seul lui… jamais d’amour… jamais.

« euh je… »

Il était déjà partie… alors que j’étais planté là… hésitant… cependant lorsque l’homme se déshabilla totalement… j’eus l’irrésistible envie de le rejoindre… seulement la gêne me tétanisait… si je le suivais dans l’eau… que ce passerais-il? En fais je savait pertinemment ce qu’il se passerait… je n’étais cependant pas certain d’en avoir envie. Le voyant me regarder, je m’approchai… d’un pas lent et sensuelle… toujours naturellement… Je tira doucement sur la dernière corde retenant le haut de mon maillo qui tomba sur le sol froid de la grotte… cependant je n’avais pas le courage de retiré le bas… j’entra dans l’eau… espérant qu’il me laisse le retiré une fois dans l’eau…et qu’il ne rigole pas …