Une rencontre de choc ! • PV *

À l’orée de la forêt assombris par le ciel nuageux laissa découvrir l’homme d’une vingtaine d’année qui se trouvait les mains recouvertes de sang qui ne provenait malheureusement pas d’un animal. L’expression impassible sur son visage, d’une dureté indéchiffrable semblait effrayer les villageois qui eurent la malchance de croisé son chemin en cette mâtiner plus glacial que fraîche. Carter ne se souciait que très peut des apparences, bien qu’il ne fut la cause de ce décès. La traque en soirée l’avais conduit sur un piste fraîche, qui fâcheusement ne menait point au l’assassin mais bien à la victime qui arborait ces marques bien fraiche de canines affuté sous la gorge. La colère monta rapidement en l’homme qui détestait arrivé trop tard, bien que la colère ne montait en lui que trop facilement. Dans les bois, une fumé blanchâtre s’élevait, le corps de la jeune femme à peine âge d’une vingtaine d’année brûlant sur la rive d’un ruisseau. Une voix qui n’appartenait point à lui bien qu’elle s’y rapproche grandement s’éleva dans sa tête, bien qu’il tente de ne point y faire attention, celle-ci soulevait bel et bien une évidence. « Un autre que tu n’a pas réussi à attrapé… » L’homme avait l’habitude d’entendre Sam lui reprocher ces tentative manqué. Seulement les seuls regrets de Carter provenait de cette immortel toujours en vie, les victimes ne lui importait que très peu. Seule la vengeance de sa famille lui importait, non celle d’un autre.

En entrant dans la petite maison de bois, Carter aperçu la jeune Abigaël qui semblait être en train de parcourir un ouvrage assise sur la table de la cuisine. Elle ne manqua pas de lever les yeux vers son fraternel qui passa ensanglanter sans même lui accordé ne serais-ce qu’un simple coup d’œil. Cependant celle-ci se leva, une lettre à la main qui était adressé à son aîné qui venait de fermer en un fracas sonore la porte de son repère à l’étage. Après avoir frappé trois petits coups sans réponse, elle glissa l’enveloppe sous la porte de bois et regagna ces occupations. Elle avait en connaissance qu’il ne fallait point importuner Carter quand il n’était point de très bonne humeur, ce qui malheureusement ce produisait plus que souvent. On pouvait entendre l’eau couler, signe qu’il était sous la douche tentant de se nettoyer de se sang qui s’était assécher sur sa peau. Lorsqu’il ressorti, une serviette de coton entouré autour de sa taille, le torse encore ruisselant, il perçu le bout de papier sur le sol. Il s’en saisi, et la posa sur la table, l’oubliant bien vite cependant puisque le nom de son expéditeur lui était inconnue.

Se réveillant quelque heures plus tard, Carter se saisit de la missive qu’il avait délaisser sur le coin de la table basse plus tôt, plus curieux que tout à l’heure de savoir de quoi il s’agissait. Cependant il fut ennuyer de voir qu’il s’agissait d’une invitation pour une soirée cocktail dans un bar du coin. Carter soupira en la balançant dans la corbeille. Il n’avait rien d’un fêtard, rien d’un homme appréciant la compagnie d’une grande quantité de gens… et par-dessus tous, le gout des boissons à cocktail ne lui inspirait rien de bon. Ce n’était que boisson pour femmes et voilà tout. S’étant rhabiller, il redescendit au rez-de-chaussée entrant dans la cuisine, sans prendre la peine d’écouter la jeune fille qui s’était mis à parler à ces cotés, n’entendant que bourdonnement. Il ouvrit le réfrigérateur, y jetant un coup d’œil avant de refermer la porte violement et d’y frapper un bon coup, qui laissa une trace renfoncé dans la porte blanche. Son coté excessif l’emportait toujours bien qu’une absence de bière, n’aurait point du déranger ainsi quelqu’un d’à peut près normal. Apparemment il allait bien se rendre dans ce bar finalement, le dépanneur était bien plus éloigné que celui-ci. Montant en voiture, cela ne lui pris que quelque minutes avant de se trouver dans le bar, se dirigeant vers le bar… la ou il ne manqua pas… la jeune femme au teint neigeux portant faussement un verre à ces lèvres. Bien que sont cœur se mis à battre un peu plus rapidement qu’au naturel, l’homme n’arbora point une expression différente, aucune trace de sourire ni d’une quelconque expression, prenant place au bar, a quelque siège d’elle, la guettant du coin de l’œil en commandant sa bière en employant qu’un simple mot direct. Après tous, elle devait se sentir comme dans un immense buffet celle-là.